Une plombe qu’on attendait son retour à celle-là ! Alors, certes, ce n’est pas de sa faute si la crise sanitaire a eu plus d’une fois raison d’elle comme de tous les autres événements mais, quand-même, nous étions littéralement des milliers à regarder avec nostalgie nos pantalons pattes d’éléphant, nos dancing shoes, nos robes à paillettes et nos chemises à col prendre la poussière.
C’est donc le 07 mai prochain que la Love Disco fera son grand retour au Country Hall pour le plus grand bonheur des Disco Lovers.
La Love Disco est un évènement i n c o n t o u r n a b l e de la vie nocturne liégeoise, un show pailleté et pétillant, une soirée inoubliable ! Chaque année, la communauté des Disco Lovers s’agrandit (près de 6500 personnes en 2019) et admire les nombreux artistes et DJs qui se partagent la scène et rendent cette soirée mémorable.
La Love Disco c’est un événement joyeux, pétillant et bon enfant lors duquel il fait bon se retrouver entre ami(e)s, entre collègues pour danser, rire, s’amuser, s’évader en toute convivialité !
Lors de cette 11ième édition et soucieux de r é p o n d r e f a v o r a b l e m e n t à la demande grandissante de la communauté des adeptes du Disco, les organisateurs ont décidé d’ouvrir une salle supplémentaire dénommée “DISCO Xperience” (L’Espace VIP du Country Hall de Liège) . D’une capacité de 800 personnes (Vip et grand public), cet espace complémentaire, attenant à la grande salle et passage obligatoire pour rejoindre la salle principale “STUDIO 54”, comprend un large bar et son propre univers musical disco.
L’objectif de la salle “Disco Xperience” est de proposer une complémentarité avec la salle principale “Studio 54”. Chaque salle possédera son propre line-up avec ses propres Dj’s et aura donc sa propre ambiance disco. Un écran vidéo permettra toutefois de suivre en live le Band Disco. Durant la prestation du Band, le son sera donc identique d’une salle à l’autre ! Le grand public pourra circuler librement d’une salle à l’autre, l’ouverture de cet espace complémentaire permettant bien évidemment d’accroître significativement le nombre de préventes disponibles.
Vous pourrez ainsi retrouver dans la salle principale DJ Dan en warm-up, le Band Disco Party Show, les danseurs de Slowdance By Stéphanie, DJ Oli Soquette et DJ Oli tombeur. Quant à la salle supplémentaire, elle accueillera DJ Oli Tombeur en warm-up, DJ Eddy Roccour et Dj Dan.
A noter que, comme évoqué déjà ci-avant, le concert du Band Disco Party Show qui aura lieu au Studio 54 sera retransmis en live vidéo dans la seconde salle.
Enfin, et c’est là un beau geste des organisateurs, suite au report de l’événement, les préventes achetées pour l’édition 2021 restent valables pour le samedi 07 mai 2022 ! Sachez néanmoins que les préventes partent à grande vitesse et que plus de la moitié des places sont déjà écoulées. N’attendez plus et rendez-vous dans un point de vente afin de vous procurer votre précieux sésame !
Pour la dixième fois, Marie Doutrepont organise les Hivernales de la Danse, un gala de danse unique en son genre devenu un évènement incontournable. Rencontre avec une passionnée dont le parcours laisse bouche bée.
C’est à Ma Ferme en Ville, son magasin/cantine promouvant de jolis produits de saison, que le rendez-vous est fixé. Vêtue d’un éclatant manteau orange, Marie Doutrepont m’y accueille avec le sourire et commence par me raconter son incroyable parcours. « J’ai commencé la danse pour m’occuper le mercredi après-midi, comme beaucoup de petites filles. J’y ai rapidement apprécié la rigueur, la discipline que cela nécessitait : c’était carré. J’ai eu la chance d’être douée et dotée de certaines qualités intrinsèques qui m’ont donné envie de m’y investir », se souvient-elle. Après un sport-études à l’Académie Gretry où les heures de danse étaient très nombreuses, Marie rejoint le Ballet de Flandre. Elle y dansera pendant plus de deux ans avant de prendre la direction du Ballet du Capitole, à Toulouse et puis de traverser la manche pour évoluer durant cinq ans au sein du prestigieux Royal Ballet à Londres. « Ce furent cinq années magiques dans une des meilleures compagnies du monde. Les danseurs y sont perfectionnistes mais il y a moins de stéréotypes et davantage de liberté et de richesse dans la diversité qu’à l’Opera de Paris qui est plus cadenassé », se remémore-t-elle. « Et puis, j’adore Londres, la langue anglaise, le flegme et l’humour britanniques. »
Après un retour au Ballet de Flandre pour deux ans, Marie décide, à vingt-huit ans, de mettre un terme à sa carrière de danseuse. « Il est possible de continuer à danser jusqu’à quarante-ans mais je n’en avais plus l’envie », me dit-elle avant de briser les clichés qui entoure un milieu aussi compétitif que finalement peu connu du grand public. « Bien sûr, être danseuse nécessite une certaine hygiène de vie – comme pour tous les sportifs – mais ce n’est pas non plus aussi intransigeant que ce que l’on peut voir dans des films comme Black Swan. Il y a des impératifs – gérer la fatigue, son énergie – mais ce n’est pas un rythme de vie insupportable et la compétition, bien que présente, y est souvent bienveillante. »
Arrivée à une forme de saturation, celle qui est originaire d’Olne, décroche totalement ou presque de la danse et enchaîne les jobs, saisissant chaque opportunité qui se présente à elle, sans plan de carrière. « Je n’ai jamais cherché du travail, cela s’est toujours fait naturellement », me confie-t-elle. « Je suis une optimiste, je crois en l’avenir et que rien n’arrive par hasard même si, quand le chemin est parsemé d’embûches, je dois souvent me le répéter (rires). »
Après avoir notamment vendu du yaourt et des espaces publicitaires ainsi que travaillé dans un casino, Marie ouvre Ma Ferme en Ville. « J’ai grandi à la campagne et, enfant, j’ai toujours été habituée à aller au marché, à ramasser les légumes, à croquer une tomate chaude pour la goûter », continue-t-elle. « J’avais ce projet en moi depuis longtemps avec la volonté de mettre plein de beaux produits en valeur. » Fondée peu avant l’apparition du Covid, Ma Ferme en Ville n’en demeure pas moins un établissement original qui a rapidement su trouver son public pour faire indubitablement partie des fleurons de la ville et de la rue Souverain Pont.
« Je me suis réveillée un matin en voulant organiser un gala ! »
Mais avant de se lancer dans l’Horeca, celle qui partage la vie de Gaby Caridi, patron de Pinart le Bistrot et de Mio Posto, s’était replongée dans son domaine de prédilection. « Je me suis réveillée un matin, en vacances près de Cannes et je me suis dit que j’allais organiser un gala », se souvient avec malice celle qui organisait déjà des stages de danse. Le parcours du combattant pouvait commencer ! « Les gens ne comprenaient pas vraiment ce que je souhaitais faire et je fus prise un peu à la légère par tout le monde. » Grâce à son carnet d’adresse bien rempli, Marie parvient à convaincre des danseuses et danseurs talentueux de venir se produire à Liège pour la première édition des Hivernales de la Danse, il y a tout juste dix ans. « Je savais bien quelles pièces je voulais, vers quoi je voulais aller. C’était une pression de dingue et beaucoup de risques car les budgets sont énormes. Heureusement, le public fut au rendez-vous dès le départ », m’explique cette passionnée. « Et chaque année, cela reste un challenge aussi difficile qu’excitant de parvenir à organiser un tel gala. »
Abattant seule la majeure partie du boulot, Marie a toujours eu une idée assez précise de ce qu’elle voulait proposer. « Plusieurs styles doivent être représentés mais pas de la danse contemporaine expérimentaliste. Je ne suis pas fan des trucs bizarres », rigole celle qui appréciait tout particulièrement danser sur Le Lac des Cygnes et la Bayadère – « ils offrent beaucoup de possibilités pour le corps de ballet », justifie-t-elle – et admirer Giselle. « Je vois avec les artistes ce qu’ils ont de « stock » ou ce qu’ils peuvent créer de spécifique pour Les Hivernales afin qu’il n’y ait pas de tableaux trop similaires. »
Ayant décidé d’implanter son gala à Liège – « par sécurité car je connais la ville », précise-t-elle – au grand dam de certains de ses partenaires, Marie a réussi à créer un évènement unique en son genre en Belgique et qui draine un large panel d’amateurs. « Je suis très exigeante et je sais que le public liégeois est spécifique. Certaines choses qui peuvent plaire dans d’autres métropoles ne rencontreront pas forcément l’adhésion dans notre Cité ardente et inversement », assure celle qui, volontairement, n’annonce pas le programme des Hivernales mais uniquement les danseuses et danseurs bookés pour l’occasion. « Ainsi, les spectateurs s’installent, n’attendent rien de particulier et savourent davantage certaines découvertes. Ils viennent pour les Hivernales et pas pour une pièce en particulier. Cela génère certes peut-être un peu de frustration en amont et diminue un peu notre ticketing mais c’est une démarche personnelle que j’assume et qui permet au public de mieux profiter de la diversité qu’offre le spectacle. Cela a aussi un aspect « éducatif » qui fait sens. »
« Un fort engouement »
C’est vraiment à partir de la septième édition que Les Hivernales de la Danse ont trouvé leur rythme de croisière. « Il y eut un super élan et un fort engouement pour les places. Le gala s’est tenu à guichets fermés », se rappelle Marie qui a la chance de pouvoir compter sur une clientèle particulièrement fidèle. « L’évènement est attendu, l’ouverture de la billetterie est toujours un moment excitant et les places se vendent très bien les deux ou trois premières semaines. » Malheureusement, le Covid faisait alors son apparition, plongeant la société tout entière dans un confinement généralisé et obligeant l’ancienne danseuse à annuler à la dernière minute la huitième édition et, ensuite, à repousser à décembre la neuvième. « J’ai eu la grande chance que mes partenaires m’aient suivi. Sans ça, je mettais la clé sous la porte », reconnait-elle.
C’est donc seulement quelques mois après la neuvième édition que Les Hivernales de la Danse fêtent leur dixième anniversaire, ces onze et treize mars au Manège Fonck. Pour l’occasion, le casting fait à nouveau rêver avec cinq « Etoiles » – l’élite des danseuses et danseurs – et des artistes venus d’Angleterre, de France, des Pays-Bas et d’Allemagne. Pour la première fois, un Prix – le Prix des Hivernales – sera décerné à des jeunes talents ayant remporté ce tout nouveau concours international. Petite particularité, ce seront les danseuses et danseurs des Hivernales qui composeront le jury. « C’est la chance pour les participants d’être vus et jugés par la génération actuelle », souligne Marie. « Les élèves ont besoin d’avis pertinents, d’être évalués sur leurs performances pour ensuite être orientés du mieux possible vers le style et l’école qui pourraientt le mieux leur convenir. »
Un beau tremplin pour ces talents en herbe qui pourront, avec les récompenses obtenues, partir notamment en stage d’insertion dans de prestigieuses compagnies. « La danse classique permet d’apprivoiser ensuite tous les autres styles pour ensuite évoluer selon ses envies, ses spécificités et ses aptitudes », me spécifie celle qui a eu la chance de beaucoup voyager durant sa carrière de danseuse. « Pour évoluer, il faut partir à l’étranger – en France, en Italie, aux Pays-Bas – car il n’y a pas vraiment de grandes écoles en Belgique même si celle du MOSA a vocation à devenir une école de haut-niveau. »
En attendant de rêver à une carrière sur les plus prestigieuses scènes du monde, les passionnées et passionnés de danse classique et contemporaine pourront se donner rendez-vous à Liège pour cette dixième édition des Hivernales qui sera à n’en pas douter un énorme succès.
EL OTRO show inspired by the infarction book of the soul of Paz Errazuriz, directed by Luis Guenel as part of the Autumn Festival in Paris at the Theatre de la Ville Espace Pierre Cardin from November 29 to December 9, 2017.
EL OTRO spectacle inspire du livre infarctus de l'ame de Paz Errazuriz, mise en scene Luis Guenel dans le cadre du Festival d'Automne a Paris au Theatre de la Ville Espace Pierre Cardin du 29 novembre au 9 decembre 2017.
Avec : Daniel Antivilo, Luz Jimenez, Angel Lattus, Millaray Lobos, Francisca Marquez, Jose Soza, Rodrigo Velasquez
Du cinq au vingt-six février, le Festival de Liège prend ses quartiers au Manège Fonck pour faire vibrer et questionner la Cité ardente.
Créé en 1958 par Robert Maréchal, le Festival du Jeune Théâtre s’appellera ensuite Rencontres Internationales de Théâtre contemporain et de Rencontres d’Octobre et épousera toujours les grands courants et tendances du théâtre contemporain, les nouvelles conceptions scéniques et esthétiques. Durant quarante années, il accueillera notamment Roger Planchon, Patrice Chéreau, le Living Théâtre, Jerzy Grotowsky, Ariane Mnouchkine et le Théâtre du Soleil, Georges Lavaudant, Bob Wilson, Jérôme Deschamps et bien d’autres illustres comédiens, metteurs en scène et productions.
En 1999, Jean-Louis Colinet succède à Robert Maréchal et, en 2001, le festival est rebaptisé Festival de Liège. C’est le début d’une nouvelle odyssée théâtrale. Devenu une biennale organisée chaque année impaire, ce festival international de théâtre, de danse et de musique d’aujourd’hui est singulier et différent des autres manifestations. Pendant trois semaines, des spectacles originaux – sous de multiples formes, ce qui en fait aussi son originalité – interrogent notre présent, questionnent notre époque. Avec ses conflits, ses guerres, ses injustices. Ses beautés aussi. Cette ode aux arts du spectacle et à la vie, la vraie, fait preuve d’une nouvelle philosophie, d’une radicalité certaine et d’une exigence de qualité dont Jean-Louis Colinet en est le concepteur et le maître d’œuvre.
Centrée sur l’humain, la programmation met en avant des créations qui parlent des sujets d’aujourd’hui et qui touchent bon nombre des spectateurs. Le Festival de Liège fait vivre la Cité ardente pendant trois semaines au gré des représentations. Mais pas seulement ! En effet, grâce aux rencontres avec les artistes, aux « afters » ainsi qu’aux collectifs et groupes issus des milieux associatifs et alternatifs qui se joignent à la fête, c’est une véritable « vie » qui s’articule autour des pièces – même si, en ces temps perturbés, ce qui fait l’essence même de cet évènement se trouve fortement chamboulé. Un savoureux mélange pour ce festival inclassable qui a fait sien cette maxime de Federico Garcia Loca: « Parce qu’un théâtre qui ne recueille pas la pulsion sociale, la pulsion historique, le drame de son peuple et la douleur authentique de son passage et son esprit n’a pas le droit de s’appeler théâtre. »
Un festival engagé et international
Un festival très actuel et engagé, dont l’édition 2021 fut reportée à cette année à cause du Covid, et dont les pièces programmées n’hésitent pas à s’emparer de sujets délicats, complexes – comme « Marche Salope » qui aborde la problématique du viol – mais toujours dans l’air du temps. Sur deux sites d’un même quartier – le Manège Fonck et le Hangar B9 de Saint-Luc –, le Festival de Liège, dont la renommée dépasse très largement nos frontières, propose des créations venues du monde entier. Il s’investit également dans la production et la co-production d’œuvres de la Fédération Wallonie-Bruxelles avec la volonté de mettre en avant et de soutenir ces artistes régionaux qui subissent de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire depuis deux ans. Parmi les productions locales, citons « Les Dévorantes », « des jeunes filles en révolte, poussées par un désir de métamorphose et de liberté au point parfois de se détruire, auxquelles la performeuse Sarah Espour donne puissamment chair et voix dans un premier spectacle radical et poétique », selon la présentation disponible sur le très complet site internet du festival.
Venu du Chili comme deux autres pièces, « El Otro » interroge sur la relation à l’autre et aborde le thème de la survie affective à notre époque. Une franche réussite qui a notamment reçu de dithyrambiques critiques du journal Le Monde et de L’Humanité. Une programmation de qualité, terriblement dans l’air du temps et engagée qui colle parfaitement à la mission que se sont imposés les organisateurs du Festival de Liège résumée dans cette assertion : « Partager les points de vue aigus que posent les artistes sur notre temps. Voilà l’ambition que se donne, inlassablement, le Festival de Liège au fil de ses éditions. »
Thiebaut Colot
Plus de renseignements sur www.festivaldeliege.be
Crédit photos : Victor Tonelli / Festival de Liège
S’il est un chapitre de notre vie qui s’écrit au rythme du cœur et des passions, c’est celui de l’adolescence. A l’âge où les émotions s’apprivoisent difficilement, il est parfois bien difficile de trouver son chemin. Alors, pourquoi ne pas essayer de le faire en musique, au rythme du Tango Argentin ? Ce pari est celui de Lucas Malec et Deborah Van Cauter, deux danseurs de tango professionnels qui ne demandent qu’à contaminer d’autres âmes au virus de la Milonga. Synonyme de fête, la Milonga se danse à l’instinct, en fonction du rythme et de la cadence de la musique. Aux yeux du monde entier, le tango argentin est avant tout synonyme de sensualité et d’échange et c’est bien de cela qu’il s’agit dans ce projet destiné aux 15-25 ans : tisser du lien après des mois de solitude forcée. Pour plonger dans cette activité authentique et envoûtante aux côtés de Deborah et Lucas, il suffit d’envoyer une candidature. Les cours se donnent au Collège Saint-Benoît Saint-Servais le lundi de 17H15 à 18h30. Au-delà de la danse, c’est de santé globale que parle nos danseurs. Comment ? En surmontant les situations difficiles, en entrant en relation, en trouvant son équilibre, en construisant son espace et en concrétisant des projets. Pour apprendre aux participants à mieux se connaître, « Le Bal des étreintes » (comme l’appellent notre couple de danseurs) semble bien s’adresser tant à l’âme qu’au corps et au cœur. N’hésitez pas ! Entrez dans la danse…
La danse est de loin l’un des modes d’expression les plus sensuels… Chez Arts n’Dance, on en fait un art de vivre. Depuis 2008, Carmelo et Hafida transmettent à leurs élèves leur passion de la salsa, tandis que Xavier et Ariane les font rocker. Rémy fait onduler les corps avec le West Coast Swing, pendant que Choco (qui donne également cours d’Afrodance) et Vicky vous révèlent les secrets de la bachata (une danse aux accents de Caraïbes venue de République Dominicaine). Ici, pas de prise de tête, on est là avant tout pour le plaisir !
Une première asbl a vu le jour dans les années 90, fondée par 5 passionnés. Aujourd’hui, ils sont 4, profs et anciens élèves, à gérer l’école. Comme pour beaucoup d’associations, le Covid a mis l’équipe à dure épreuve. Après plusieurs mois de pause, Arts n’dance peut enfin sortir la tête de l’eau et accueillir à nouveau des élèves. Multiculturels et multigénétationnels, les cours s’adressent à tous, enfants, ados, adultes et seniors. Débutants ou intermédiaires, chacun y trouvera de quoi se faire plaisir. Les leçons se donnent tout au long de la semaine, à Sclessin, au Centre Antoine Vitez, et à Seraing, à côté de la piscine olympique. Covid oblige, on reste prudent et les abonnements sont, cette année, trimestriels au prix de 92 euros.
L’équipe Arts n’Dance
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